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Dans le sillage d'un marin au long cours

21 novembre 2011

Le journal en ligne

Bonjour à tous,

    Nous avons fini le livre et nous l'avons mis en ligne. Si ça vous interesse, cliquez

ici.


Attention, c'est un peu long à charger, surtout les images.

Nous tenons à remercier tous ceux qui nous ont aidés et encouragés dans ce travail :

 - Jean Trébern, venu nous raconter l'histoire de son grand-père, fusilier-marin sur l'Amiral Troude, torpillé par un sous-marin allemand, et grâce à qui nous avons aussi découvert que Louis Bargain était un marin voilier.
- Christian Bernadat, auteur avec son père, Roger, du livre "Le France II, le plus grand voilier du monde", qui a répondu à notre interview et éclairé quelques questions tecnhiques.
- Memgam, Olivier12, Généamar, Rutilius et Valérie Q, du forum pages 14-18 qui ont répondu à beaucoup de questions et nous ont donné quelques pistes de travail. Merci spécial à Valérie qui, bien conseillée, nous a rapporté le rôle d'équipage du France pour l'année 1917
- le personnel du SHD à Brest et Jean-Jacques Grall, du service pédagogique pour la matricule de Louis Bargain
- la mairie de Tréguennec, pour l'accès aux registres d'Etat-civil
- Et tous ceux qui nous ont suivi dans ce travail, ont regardé notre blog, posté quelques commentaires, ...

Nos sources
Acte de naissance de Louis Bargain : registre d'Etat-Civil, mairie de Tréguennec
Fiche matricule : registre matricule, Archives Départementales 29
Acte de décès : Etat-civil du Ministère des Affaires Etrangères, Nantes
Feuillet matricule : Registre des inscrits maritimes provisoires, quartier de Penmarc'h, SHD Brest
Rôle d'équipage du France II : Archives départementales  76

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21 juin 2011

Loire et Tunisie : des précisions

Memgam, du forum pages 14-18 nous a apporté des précisions sur deux des navires sur lesquels Louis Bargain a navigué :

- le Loire (1896-1924) est un quatre mâts de l'armement Bordes. Il s'est rendu célèbre en 1913 en sauvant les 26 survivants du trois-mâts britannique Dalgonar. Il était resté pendant quatre jours auprès de lui en attendant que le temps se calme qu'il puissent sauver ces marins en les transférant par canot.
- le Tunisie est un cargo charbonnier auxiliaire qui a été coulé par le sous-marin allemand U 43 le 19 juin 1917

14 juin 2011

Un parcours de marin

     Au SHD, à Brest, nous avons pu consulter le registre des inscrits maritîmes qui contenait la matricule de Louis Bargain. Nous connaissons maintenant tout son parcours de marin.

      Il était inscrit, à partir du 14 mars 1916, sous le numéro 9123 au quartier maritime de Penmarc'h.
Avant d'embarquer sur le France II, il avait  navigué sur trois bateaux différents, pour du cabotage ou de la navigation au long cours :  


           - le Galantry, une goëlette immatriculée à Granville. Cabotage de Nantes à Brest - 14 mars au 8 avril 1916
            - le Loire, un 4 mâts immatriculé à Nantes. Long Cours de Nantes à st Nazaire -10 avril au 20 novembre 1916
            - le Tunisie, un bateau à vapeur immatriculé à Nantes. cabotage de Nantes à Nantes- 24 novembre au 5 décembre 1916
                         
 Louis Bargain est bien décédé à Dakar le 26 octobre 1918, à l'infirmerie du Marigot.
 

 

 

10 juin 2011

Une matinée aux archives

Jeudi 9 juin

   Nous avons pris le car pour Brest. Nous sommes allés aux archives de la Marine Nationale (SHD). Quand nous avons monté les marches, nous avons rencontra Jean-Jacques Grall, il nous a donné à chacun un livret de 1750 : c'étaient les rôles d'équipages de différents bateaux : le Lion, le Brillant, ... Ces bateaux partaient de Saint Malo et se dirigeaient vers terer-Neuve (petit Nord à l'époque) pour la pêche à la morue, un poisson impressionnant qui fait la taille de deux tables d'école.

  Nous avons cherché dans les cahiers la date de construction des bateaux, sa destination, l'armateur, le capitaine, l'équipage, ... Nous avons appris beaucoup de choses sur la pêche à la morue. Les marins pêchaient par deux, l'un ramait et dirigeait le bateau, l'autre pêchait. Le décolleur coupait la tête de la morue, l'habilleur la vidait, le saleur mettait une couche de sel sur la morue car il n'y avait pas de réfrigérateur.

  Il y avait aussi à bord des calfats, qui bouchaient les trous avec du coton, des voiliers, des charpentiers, parfois un prêtre et toujours un chirurgien.

  Parfois les bateaux rentraient directement à Saint Malo mais le plus souvent ils allaient vendre leur morue à Marseille.

 Un monsieur nous a ensuite apporté un registre des inscrits maritîmes ouvert à la page de la matricule de Louis Bargain. Nous avons donc ses embarquements que nous donnerons plus tard.

 

 

10 mai 2011

Interview de Christian Bernadat

Nous avons posé quelques questions à Christian Bernadat, qui a écrit avec son père Roger le livre sur le France II que nous avons présenté au début de ce blog : "France II, le plus grand voilier du monde construit à Bordeaux", aux éditions de l'Entre-Deux-Mers. Il nous a répondu très gentiment et de façon très complète, c'était très interessant.

Voici nos questions et ses réponses:


Ecole de Tréguennec : Depuis quand aimez-vous la marine ?

Christian Bernadat : Depuis tout petit ! Je suis né à Bordeaux (en 1950 !). dans les années 50, mon grand-père m'emmenait souvent visiter le petit musée de la Marine que nous avions alors à Bordeaux (fermé depuis), et je faisais des maquettes de navires à voile en carton. Mon arrière-grand-père (qui était encore vivant) me conduisait aussi sur le port, et j'adorais assister aux manœuvres des cargos et des paquebots (Bordeaux était alors un grand port de commerce). Enfin, mon père travaillait aux Chantiers de la Gironde, le derniere grand chantier de construction navale à Bordeaux, qui a fermé en 1969. J'adorais aussi assister aux lancements des grands navires. Puis, plus tard, adolescent, nous eurent une maison sur le Bassin d'Arcachon, et mes parents achetèrent des bateaux de loisir à voile, d'abord un "caneton", puis un "Fam" de Klepper Marine, bateau ponté en résine de 5,40 m avec lequel, avec mon frère, nous avons sillonné le Bassin d'Arcachon alors que nous étions étudiants.
 
EdT - Comment avez-vous connu le France ?

CB : Comme je viens de vous le dire, mon père travaillait aux Chantiers de la Gironde. Avant d'écrire le livre sur le France II, nous avons écrit et publié chez le même éditeur l'Histoire de la construction navale à Bordeaux ("Quand Bordeaux construisait des navires"). C'est à cette occasion que nous avons commencé à nous interesser sérieusement au "France" (II), car il y a été construit et, comme nous le racontons en page 20, mon père, lors de la liquidation du chantier a eu en main les plans originaux du France, qui étaient encore en possession du chantier en 1969, et, trop honnête, n'a pas osé les subtiliser, alors qu'il avait conscience de leur valeur inestimable, et qui les savait voués à la destruction ! Ce crève-cœur l'avait fortement marqué, et il en avait beaucoup parlé à la maison : voilà comment j'ai entendu parlé pour la première fois du France II.
 
EdT : Votre père est-il allé dessus ?

CB :Evidemment, non ! Comme vous le savez maintenant, le navire s'est échoué en 1922. Mon père (décédé depuis 2007) était né en 1926, donc 4 années après la perte du navire. Mais il a fréquenté quelques "anciens" du chantier qui se souvenaient du lancement !
 
EdT: Etes-vous allé sur l'épave ?

CB :Non plus ! Ce voyage ne me déplairait pas, mais la Nouvelle-Calédonie, bien que française, n'est pas la porte à côté, c'est même, pratiquement aux antipodes ! Par contre, si, un jour, je réalise un voyage de tourisme là-bas, j'essaierais d'aller voir l'épave. Les photos publiées nous ont été gracieusement communiquées par l'animateur de l'association locale "Fortunes de mer" qui s'est donnée pour but d'explorer (en plongée) les innombrables épaves échouées sur le récif coralien (Cf. page 67). Par ailleurs, j'ai fais la connaissance à Rouen d'un maquettiste (qui vient de faire la maquette du France, que je crois vous avoir envoyé en photo - sinon, me la redemander), qui est originaire de Nouvelle-Calédonie, et qui m'a affirmé qu'on voit encore très nettement l'épave à marée basse depuis un col situé à proximité.
 
EdT : Comment avez-vous eu l'idée et l'envie de faire ce livre ?

CB : Comme je vous l'ai dit, avec mon Père, nous avons publié, en mars 2006, "Quand Bordeaux constuisait des navires", livre qui a très bien marché localement (vendu pratiquement à 1 000 exemplaires). Nous étions donc alors à la recherche d'un prolongement de nos travaux (nous avions pris goût à la recherche, à l'écriture, et à la publication de ce genre d'ouvrage), mais nous voulions rester sur un thème lié à la construction navale bordelaise. Très vite, il nous est apparu évident que, de tous les navires construits à Bordeaux, Le France II était celui qui méritait le plus que l'on écrive son histoire en détail : très peu de grands voiliers construits à Bordeaux au 20ème siècle, et le seul ayant acquis une renommée nationale, et même internationale, du fait que son record de taille (hormis les "Club Med" récents, mais qui ne sont pas reconnus comme de véritables voiliers) est resté jusqu'à ce jour inégalé. Enfin, par les informations accumulées par mon père, nous disposions de données jusqu'à présent inédites sur sa construction.


EdT : Quand l'avez-vous écrit ?

CB : Nous nous sommes mis à l'oeuvre dès l'automne 2006 . Il a été publié en mars 2008, mais dès octobre-novembre 2007, il était quasiment écrit, et heureusement, puisque mon père, hélas, est décédé fin décembre 2007. Il n'aura donc pas vu l'édition de ce second livre qui lui causait pourtant tant de plaisir !
 
EdT : Combien de temps avez-vous mis pour l'écrire ?

CB :Comme indiqué ci-dessus, environ 14 mois.
 
 
EdT : S'est-il vendu à de nombreux exemplaires ?

CB : Il n'a été édité qu'à 300 exemplaires, ce qui est évidemment très peu. Sur ce nombre environ 275 ont été vendus à ce jour, et ce malgré une publicité que j'ai fait passer dans le "Chasse-Marée". Mais il faut avoir conscience qu'en France, très peu de monde s'intéresse vraiment à l'histoire de la marine, contrairement à la Grande Bretagne ou aux Pays-Bas !
 

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15 avril 2011

Visite à Kerguellec

       Vendredi 15 avril, nous sommes allés à Kerguellec, dans le quartier d'Eliaz, un élève de la classe. Nous cherchions la maison de Louis Bargain. Nous ne l'avons pas trouvée, c'est soit la maison d'Eliaz soit une maison voisine. Son papa s'est renseigné mais personne n'a pu l'aider dans le quartier. Nous espérons avoir d'autres renseignements à la mairie ou avec la maman de Clet dont la famille est originaire du quartier.

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       Nous avons beaucoup marché. C'était une très belle ballade, il faisait beau et chaud. Certains ont aussi fait des bouquets.IMG_0068__2_

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Voici une photo de nous devant le panneau de Kerguellec.

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Eliaz nous a servi de guide et Lauriane et Titouan se sont chargés de représenter notre trajet sur la carte.

 

Trajet

 

Pour la classe, Eliaz et Erell

11 avril 2011

Les dernières trouvailles

     Grace à Valérie nous avons eu le role d'équipage du France II pour 1917. C'est un grand cahier où sont inscrits tous les marins qui sont sur le bateau. Erell et Rosalie, qui sont allées aux archives Départementales à Quimper pour chercher des fiches matricules disent que ça ressemble beaucoup à ces registres-là.

Nous avons donc toute la liste des marins et nous avons aussi  vu que Louis Bargain était sur le France depuis le 23 decembre 1916 . Il était inscrit à Quimper sous le numéro 9123. Maintenant, nous allons chercher son dossier à l'Inscription Maritime.

Nous avons également eu quelques informations sur sa paye. Il avait reçu 311 francs d'avance et il était passé à 115 francs par mois le 25 mars 1917, puis à 130 le premier septembre 1917. 

5 avril 2011

Nouvelles nouvelles

Nous avons rédigé plusieurs,épisodes du voyage du France (mais pas tous) en nous imaginent que nous étions Louis Bargain. Nous sommes allés à Montevideo. Dans cet enivrant voyage nous avons aussi affronté une terrible tempête. Nous avons aussi reçu des messages de Valérie qui se renseigne sur Louis Bargain à Rouen. Nous aurons de meilleures informations car elle cherche dans les archives départementales de Rouen. Au debut, elle s'est trompée en cherchant pour 1916, mais comme ça, nous savons qu'en 1916, notre marin ne faisait pas encore partie de l'équipage du France.

Erell

24 février 2011

Des réponses !!!

Grace aux conseils de Jean Trebern, nous avons eu l'acte de décès de Louis Bargain et nous avons appris  qu'il  était marin voilier. C'est à dire que son rôle consistait à s'occuper de la réparation et de l'entretien des voiles.

Des personnes du forum nous ont aidé à comprendre sa fiche matricule. Avec leur aide, nous avons enfin eu notre réponse : il n'était pas marin d'état mais marin civil. Nous allons poursuivre les recherches pour essayer de connaître ses différents embarquements.

Nous avons beaucoup avancé.

Lénaig - Titouan -Tilouann - Rosalie

14 février 2011

Marin de commerce ou marin militaire ?

Après la visite de Jean Trebern, nous avons compris qu'il y avait deux sortes de marins : les marins de commerce, ceux  qui travaillaient  et qui étaient correctement payés, et les marins militaires, ceux qui ne  travaillaient pas trop mais s'occupaient des canons et n'étaient fortement payés...
Nous ne savons pas si Louis Bargain était  marin militaire ou de commerce. C'est ennuyeux pour raconter son histoire. Pour essayer de le savoir, nous avons suivi le conseil de Jean Trebern et demandé son acte de décès à Nantes, au Service Central d'Etat Civil du Ministère des Affaires Etrangères.
A suivre...

10 février 2011

Hervé Losq : le torpillage de l'Amiral Troude

Mardi 8 février, l'oncle d'Amélia, Jean Trébern, est venu à l'école nous raconter l'histoire de son grand-père, Hervé Losq, né le 2 janvier 1887, marin militaire sur le trois-mâts barque Amiral Troude quand il a été attaqué par un sous-marin allemand.

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Il nous a montré les documents qu'il a utilisés pour reconstituer l'histoire :

- le livret de solde d'Hervé Losq qui indique toutes les sommes données et reçues, les endroits où il est allé, etc...

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- les notes prises par la fille d'Hervé Losq

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Il nous a aussi donné la version du capitaine du sous-marin allemand et celle de celui de l'Amiral Troude. La version du capitaine n'est pas la même que la sienne. Par exemple, dans ses souvenirs, le bateau n'a pas été bombardé avant de se rendre et le capitaine a pris place dans une chaloupe et non sauté à l'eau.

L'Amiral Troude était allé au Chili chercher une cargaison de guano destinée à faire de la poudre. C'est en revenant qu'il a été attaqué, le 3 septembre 1917, dans le Golfe de Gascogne par un sous-marin allemand. Quand ils l'ont vu apparaître, ils ont mis les chaloupes à la mer et ont abandonné leur bateau. Hervé Losq a embarqué dans celle du capitaine. Les navires de commerce étaient armés de tout petits canons, ils préféraient donc ne pas se défendre quand un sous-marin les attaquait car ils n'étaient pas de taille. Quelques marins militaires étaient chargés de s'occuper de cet armement, ils ne touchaient que leur solde, c'est à dire qu'ils gagnaient beaucoup moins que les marins civils qui eux, étaient chargés de manoeuvrer le bateau. La cohabitation était parfois difficile.

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Le sous-marin s'est approché des chaloupes pour récupérer les papiers puis a coulé le bateau, car le rôle des sous-marin  n'était pas de couler les équipages mais d'empêcher les cargaisons d'arriver à destination.

La chaloupe du second a été récupérée par un morutier normand, celle du capitaine avec Hervé  Losq par un bateau anglais. de retour en France, Hervé Losq a profité d'un mois de permission pour se marier. Jean Trébern nous a montré sa photo de mariage.

Pendant que Jean nous racontait cette histoire, Meven faisait un reportage photo dont nous vous présentons quelques extraits. C'était très très intéressant, nous avons appris beaucoup de choses. Un grand merci à Jean Trébern.

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28 janvier 2011

Le port de Glasgow

Pour illustrer la première lettre de Louis Bargain,nous avons représenté le port de Glasgow. 

PortdeGlasgowblog2

                          Marie                              Rosalie                            Evan

PortdeGlasgowblog3

                          Eliaz                              Erell                              Lauriane

Nous avons choisi parmi plusieurs photos du port de Glasgow dans le passé.

Ensuite nous avons dessiné les bateaux,la mer,les bâtiments derrière,les gens sur le quai.

Puis avec de l'encre noire,on a représenté la mer et le ciel.

Après on a collé de la tapisserie pour faire les immeubles,les bateaux,les lampadaires.

Et pour finir nous avons repassé les gens au feutre noir .

Nous choisirons ensuite nos préférés pour illustrer l'e-book en préparation.

PortdeGlasgowblog4

                           Clara                         Lénaïg                                  Meven

Lauriane-Nathan-Rosalie

17 janvier 2011

Dernières nouvelles

Lundi 17 janvier

Voici quelques nouvelles de notre travail.

Nous avons enfin écrit  la première lettre de Louis Bargain.
Nous nous sommes  imaginés que nous étions dans la peau de Louis  Bargain. C'était une chose intéressante.
Nous avons reçu le livre France II de Roger et Christian Bernadat, nous allons en faire chacun une critique du livre et nous allons réaliser par mail une interview de l'auteur.

France_II

Les deux Nathan ont écrit à l'oncle d'Amélia, pour l'inviter à nous parler de l'expérience de marin de son grand-père pendant la première guerre mondiale.      

Erell - Titouan - Lauriane - Rosalie

17 décembre 2010

Des nouvelles du concours de dessins

Nous avons eu des nouvelles du concours de dessins ! Il y avait 400 participants et Lénaïg a remporté un prix qu'elle est allée chercher à Brest mercredi.

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Dans le sillage d'un marin au long cours
  • Blog de la classe élémentaire de l'école de Tréguennec (Finistère). Nos recherches sur le matelot Louis Bargain, embarqué sur le 5 mâts France en 1918 et son voilier. Journal imaginé du 4ème voyage du France.
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